Théâtre en oeuvres

un parcours théâtral au Musée de Grenoble.

avec Anne-Sophie Galinier et Henri Thomas, comédiens, dans une mise en scène de Philippe Boyau.

Le principe de ce parcours consiste à confronter des œuvres plastiques à des textes de différents auteurs, les faisant ainsi entrer en résonance de manière polysémique. Le choix des textes est varié abordant divers genres du théâtre (monologues, dialogues, lectures de témoignages, poésie…).
La mise en scène s’adapte à chaque œuvre et à son espace. Le parcours est organisé de manière chronologique autour d’œuvres créées au vingtième siècle, en laissant une grande part à l’humour et à la légèreté.

Historique du projet : En juin 2004,  à l’occasion du nouvel accrochage des espaces XXème du Musée de Grenoble, différentes personnalités artistiques (Jean-Claude  Gallota, Dominique Brunier, Rémi Resse…) étaient invitées à offrir leur regard sur les œuvres modernes et contemporaines de la collection.  La Compagnie du Jour a été sollicitée pour créer un parcours-théâtre :  Théâtre en œuvres est né à cette http://pharmaplanet.net occasion.  En septembre 2004, une version courte de  Théâtre en œuvres est présentée dans le cadre des Journées du Patrimoine.  De 2005 à 2007, il a été joué une quarantaine de fois, autant pour des groupes scolaires que pour des groupes d’adultes. Il continue aujourd’hui d’être encore joué.

Intérêt pédagogique : L’approche théâtrale invite à porter un regard nouveau sur la création plastique. Le public découvrira ou re-découvrira le Musée autrement, tout en satisfaisant sa curiosité à l’égard des artistes et des différents courants artistiques abordés.  Pour les scolaires, ce parcours permet d’avoir un contact vivant et ludique avec le Musée en abordant l’Art du 20ème siècle et quelques-unes de ses tendances.
Les enseignants pourront développer également les thématiques suivantes : l’interdisciplinarité Lettres-Arts, le théâtre « Hors les murs », les différents genres littéraires de la représentation (lettre, nouvelle, poésie, théâtre…).

  • Le mot de Pierre Lecarme, journaliste : à lire ici.